Chronique d'une mort annoncée
D'après Gabriel Garcia Marquez



Adaptation et mise en scène : Sophie Lamouroux

Avec:
Caroline Bouchard
David-Alexandre Després
Sébastien Dodge
Rose-Maïté Erkoreka
Simon Rousseau

Musique : La Main Froide
Costumes : Brena Subotic
Éclairages : Yannick Gravel
Décors et accessoires: Sophie Lamouroux
Graphisme : Christian Mercier
Photographie : Yannick Gravel

Du 23 février au 12 mars 2005, du mercredi au samedi à 20h
A l'Espace Olibrius : 10 Des Pins-Ouest (coin Saint-Laurent)

Les frères Vicario ont annoncé leur intention meurtrière à tous ceux qu'ils ont rencontrés, la rumeur alertant finalement le village entier, à l'exception de Santiago Nasar. Et pourtant à l'aube, ce matin-là, Santiago sera poignardé devant sa porte. Pourquoi le crime n'a-t-il pu être évité?
C'est à partir de cette intrigue plus poignante mais aussi plus burlesque de page en page que l'adaptation théâtrale de ce spectacle est née. Ils sont cinq comédiens pour représenter la paradoxale attitude humaine, savant mélange de courage et de lacheté, à travers une quinzaine de personnages.

Remerciements :
Philippe Nock, Le Père Jean Pilon, Marie Pigeon Labrecque, Jelena Popovic, Frédérique Lamouroux, Marc-André Bazergui

Reprise en 2006

Du 18 au 29 avril 2006, 21h
au Bain Saint-Michel, 5300 rue Saint-Dominique

avec:
Caroline Bouchard
Evelyne Brochu
François-Xavier Dufour
Erick Tremblay
Frédérik Zacharek.



Quelques notes sur le spectacle:

"Rien. Absolument rien, enfin, presque. Une vieille couverture rouge, des costumes probablement issus de leurs propres vêtements, deux chaises et une table récupérés dans la bâtisse même, quelques bricoles du tout pour un dollar. Quelques rares spot, les boîtes de son de la salle. Et pourtant... Et pourtant quoi ? La magie, celle du théâtre, celle qui gige sous les violons de la passion, cette émotion fiévreuse qui anime ces jeunes dénués de tout matériel: Je les ais trouvés beaux, portés par la grâce de ce qui n'a pas de prix, de ce qui ne s'achète pas. Lumineuse beauté de ceux qui se donnent, croient, espèrent et créent, transcendance de la mesquine réalité matérielle en un quelque chose de plus haut, de plus beau, touchant une certaine pureté de gestes et paroles: Je pense que certains appellent cela de l'Art... Le théâtre comme on en rêve, libre, accessible, démocratique, axé sur l'essentiel, l'important: Le jeu, l'acteur, le reste finalement, c'est du flafla. Car, finalement, pour faire du théâtre, cela ne prend que cela, l'essentiel... La passion dénudée Bravo"

Yves Rousseau, lecteur du Voir.

Santiago Nasar

Placida Linero

Père Amador

Colonel Aponte

Victoria Guzman

Divina Flor

Pablo Vicario

Pedro Vicario

Angela Vicario

juge d'instruction

Clotilde Armenta

Louisa Santiaga

Margot

Luis Enrique

Cristo Bedoya

Flora Miguel

Yamil Shaïum

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